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Philosophie de la corrida

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Philosophie de la corrida

Détails sur le produit

Broché: 336 pages

Editeur : Fayard/Pluriel (6 avril 2011)

Collection : Pluriel

Langue : Français

ISBN-10: 2818501202

ISBN-13: 978-2818501207

Dimensions du produit:

11 x 1,8 x 17,8 cm

Moyenne des commentaires client :

2.7 étoiles sur 5

21 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

53.387 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Une perspective très intéressante sur cet art unique et sur notre rapport aux animaux

On sait qu’expliquer n’est pas excuser. Pourtant, on condamnerait d’autant plus aisément qu’on ne connaît pas. Il est ainsi beaucoup d’objets et de pensées qu’on rejetterait avec trop de facilité, faute d’avoir cherché à les comprendre. Dans des registres très divers, qui n’ont strictement rien à voir entre eux, c’est un type de réflexion que l’on peut entendre pour l’art contemporain, l’islam, la chasse, etc. La critique éventuelle qui leur est faite serait, en grande partie, liée à un défaut majeur de connaissance à leur endroit. Et ce serait le cas aussi de la corrida : corrida jugée barbare, corrida estimée d’un autre temps, corrida que d’aucuns souhaiteraient voir interdite. Dès lors, se pose la question : ne rejetterait-on pas la corrida faute de la connaître suffisamment ? C’est ainsi que le philosophe Francis Wolff, professeur à l’école normale supérieure – excusez du peu ! – s’est donné la tâche de proposer une « philosophie de la corrida », pour mieux faire connaître cette dernière, la mieux faire comprendre, et pourquoi pas, la réhabiliter.Autant dire que l’exercice est mené avec brio. Spectaculaire comme la corrida elle-même. Etincelant comme le fameux « habit de lumière » du torero.Pour autant, l’exercice est-il convaincant ? D’emblée, on pourrait répondre « non », mais il convient de préciser la question. Qu’est-ce qui est en jeu derrière les récriminations formulées à l’encontre de la corrida ? C’est, bien sûr, l’atteinte à l’éthique qu’elle constitue ; atteinte à l’éthique animale, mais même, au-delà , atteinte à l’éthique tout court. Or, l’auteur a beau nous dire que « la corrida n’est ni ‘immoraliste’ ni ‘amoraliste’ » (p. 40), il a beau essayer de bâtir une « éthique agonistique » (agonistique = relatif à la lutte), le compte n’y est pas ; définitivement pas.Tout d’abord, c’est factuellement que la thèse de F. Wolff est très souvent contestable. À dire vrai, on retrouve dans son livre les antiennes habituelles des aficionados qui tentent, par tous les moyens et toutes les faussetés, de justifier leur passion.Par exemple, sur le fait que le taureau ne souffrirait pas. Wolff dit, quant à lui, que « le taureau libère, pendant son combat, une quantité de beta-endorphines qui ont pour effet de bloquer les récepteurs de la douleur » (p. 87). Il faut rappeler ici que le Conseil de l’ordre des vétérinaires a pris une position extrêmement claire contre la corrida. Il existe aussi un Collectif des vétérinaires pour l'abolition de la corrida (cf. leur site sur internet) qui s’appuie sur quantité de rapports scientifiques et d’interventions diverses pour dénoncer la pratique de la corrida. Ainsi, dans le rapport « éthique vétérinaire et corrida », on peut lire à propos de la souffrance des taureaux : « La souffrance animale lors des spectacles taurins sanglants est montrée par l’étude des lésions (…) et des différentes manifestations physiques pathologiques des animaux dans l’arène (respiration gueule ouverte et langue pendante, difficultés locomotrices, désorientation, hyperhémie, épuisement physique, hémorragies cutanées, nasales et buccales…) » (p. 3). Plus précisément, sur le rôle des endorphines, lisons ce qu’en dit le vétérinaire José Enrique Zaldívar, devant le Parlement catalan (lequel Parlement a adopté l’abolition de la corrida en 2010, décision annulée par la Cour constitutionnelle espagnole en 2016) : « Les endorphines ne possèdent pas de pouvoirs magiques. Toutes les endorphines découvertes jusqu’ici sont libérées en cas de stress et de douleur, je suis au courant qu’elles ont des propriétés analgésiques, mais il n’est écrit dans aucune publication scientifique qu’elles neutralisent la douleur au point de l’apparenter au plaisir. »Autre point très contestable repris à foison par Francis Wolff : la supposée agressivité naturelle du taureau de corrida, le fameux « toro bravo ». Wolff parle ainsi d’une « hostilité innée à l’égard de l’étranger et notamment de l’homme » (p. 63) et n’hésite pas, à plusieurs reprises, de qualifier l’herbivore qu’est le taureau de « fauve » (par exemple, p. 304). Inutile d’être trop long dans la contradiction : il suffit d’aller voir sur Youtube le célèbre taureau Fadjen, élevé en Bretagne, qui joue au ballon et fait des mamours à son propriétaire, et qui nous montre, sans conteste, que la prétendue prédestination du taureau au combat n’est que faribole.Sans parler de « faits », on peut aussi remettre en cause certaines appréciations formulées par l’auteur, par exemple que le combat entre le torero et le taureau serait « loyal ». Wolff dit bien qu’il n’est pas « égal », mais « loyal ». En réalité, il n’est ni égal, ni loyal. Comment peut-on qualifier de loyal un combat où l’adversaire est seul face à plusieurs (certains à cheval), qui progressivement l’affaiblissent (les piques des picadors lui font perdre jusqu’à 7 litres de sang), provoquent des lésions neurologiques, sectionnent des muscles dorsaux obligeant l’animal à garder la tête baissée ? Sans parler de la « préparation » du taureau d’avant-corrida dont on peut trouver des descriptions édifiantes sur le site du CRAC (Comité radicalement anti-corrida), notamment l’odieuse pratique de l’afeitado qui consiste à scier à vif plusieurs centimètres au bout de chaque corne, l’opération étant ensuite camouflée avec de la résine et du vernis pour que les cornes aient l’air intactes, le but étant d’infliger une souffrance additionnelle au taureau, de contribuer à le désorienter et de réduire le risque pour le torero… D’ailleurs, la disproportion est manifeste entre les 40.000 taureaux tués annuellement en Europe, au cours de corridas, et assurément moins de 1 de torero en moyenne succombant dans l’arène : rétrospectivement, face à l’ampleur d’un tel décalage, le combat ne pouvait apparaître comme loyal…On est surpris aussi de la reprise de certains arguments plutôt frustres, à plus forte raison de la part d’un philosophe émérite comme Francis Wolff. C’est le cas notamment de l’argument qui met sur le même plan le comportement de l’homme face au taureau et celui du prédateur animal face à sa proie : « Il n’y a pas de raison de distinguer, prétend Wolff, entre le combat des animaux entre eux, qui serait ‘moral’ et celui des animaux et des hommes, qui serait ‘immoral’ » (p. 86). À ceci près qu’en matière d’éthique, la distinction entre « agent » moral et « patient » moral est désormais considérée comme fondamentale : seul l’agent est susceptible d’une volonté et d’une action de caractère moral, le patient (l’animal, mais aussi le très jeune enfant, le handicapé, le vieillard, etc.) étant, quant à lui, essentiellement passif, autrement dit, à la différence de l’agent, il dispose de droits, mais non de devoirs (cf., par exemple, sur ce point « L’éthique animale » de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer).Mais revenons à l’idée liminaire de ce commentaire : quel sens y a-t-il derrière ce rituel sanglant qu’est celui de la corrida ? Francis Wolff met en avant, non sans éclat quant au fond ni sans esthétique quant à la forme, tout un ensemble de notions où cohabitent la bravoure, la liberté, la résistance, la dimension artistique… Certes, ce sont-là des raisons susceptibles d’expliquer une passion, mais certainement pas de justifier éthiquement une pratique, laquelle reste foncièrement contestable du fait de souffrances infligées à un animal, de la suppression quasi assurée de la vie de cet animal, de l’accompagnement de ces souffrances et de cet exécution d’un plaisir et d’un esprit de fête qui, par définition, peuvent s’apparenter à du sadisme (sadisme = recherche de plaisir dans la souffrance volontairement infligée à autrui)… (Il y a même une forme de paradoxe dans la position affichée par l’auteur. S’il fallait vraiment que les qualités prônées par le philosophe aficionado (liberté, courage…) fussent valorisées dans une lutte, ce n’est certainement pas la lutte profondément injuste entre le taureau et le torero qui en serait la meilleure illustration : on penserait plutôt à une espèce de combat clandestin, livré jusqu’à la mort, entre deux gladiateurs issus d’un passé immémorial…)Reste cette interprétation ontologique qui affleure par moment dans le livre, (mais sans insistance, ce qui laisserait supposer que l’auteur lui-même exprime à son encontre une certaine réserve). La corrida, symboliserait selon un « récit archaïque, le combat de la Nature et de la Culture » (p. 35). Dans ce jeu philosophique traditionnel, la Nature est bien sûr incarnée par le Taureau et la Culture est représentée, avec la même évidence, par l’Homme, le torero. Or, la lutte ritualisée veut que l’Homme tue le Taureau, marquant ainsi la victoire recherchée de la Culture sur la Nature. Difficile de ne pas admettre que sur, ce point au moins, ce qu’on a pu voir et que l’on voit encore du combat de notre civilisation face à la nature ne révèle pas effectivement l’assujettissement de cette dernière. L’ensemble des problèmes écologiques ne sont-ils pas là pour montrer que l’environnement subit depuis des siècles et des siècles la mainmise de l’homme ? Alors, oui, dans ces conditions, la mort du taureau dans l’arène est bien un symbole, un symbole fort : celui de la Nature outragée par l’orgueil de l’homme.

De l'érudition taurine sans affectation,un style qui vous donne l'impression de lire un roman! Un parallèle entre P.Ojeda et J.Tomas qui vous laisse K.O (comment ne l'avais je pas vu tout seul ?) Une proposition de synthése du style de ces deux "monstres" qui ne pouvait que combler le Biterrois que je suis.....

Cet ouvrage, bien écrit, pédagogique et non-démagogique, explique de manière accessible, l'essence même de la corrida, sans verser dans l'excès, ni aucun règlement de compte. Il a le grand mérite d'apporter un certain nombre de considérations, historiques, sociales, culturelles, éthiques et bien sûr philosophiques pour donner au lecteur une approche (intelligente)de la corrida dans toutes ses dimensions. Je dirais que toute personne qui souhaiterait assister à une corrida avec un minimum d'objectivité (il est évident que les anti-corridas, purs et durs, ne seront, par définition, jamais convaincus...) se doit de lire cet ouvrage pour avoir au moins un minimum de connaissances dans ce domaine : comment assister à une corrida en ignorant totalement les valeurs traditionnelles et culturelles qui y sont attachées, les règles, les coutumes, les codes, donc les "clés" de compréhension ? Pour se faire une idée de ce qu'est la corrida, il faut au moins lire ce livre qui reste un guide précieux de compréhension (ni plus, ni moins) et assister à une corrida. Après, et seulement après, on pourra faire valoir sa position. Mais au moins vous saurez de quoi vous parlez !

Pour ceux qui sont pour ou contre la corrida, ce live est à lire absolument, il permet de nous poser les bonnes questions, de nous interroger intelligemment, de nous faire prendre du recule, de plus l'écriture est merveilleuse et très facile à lire, pour ma part je n'est que 15 ans, donc c'est pour vous dire.Pour moi c'est un livre qui ce défend, et après tout, chacun c'est gouts. En tout cas c'est une énorme ouverture d'esprit.Un ivre à conseiller à lire.

Brillant et bien écrit.A recommander à tous,d'Arles à Pampelune.Que l'on soit pour ou contre,l'auteur prend de la hauteur sur le sujet et plante ses banderilles dans le le prêt à penser.Deux oreilles et la queue ;-)

Le style d'écriture de Francis Wolff est assez proche de celui d'une muletail est en ça plus réussi que celui de Francis Marmande qui n'a conservé du jazz que la syncope.C'est un bouquin qui malgré les répétions a le mérite de la matière . L'humanité et ses 7 milliards de bouches à nourrir quotidiennement des centaines de milliers d'animaux y passent ; et voilà la corrida espagnole et son combat -et non victime comme certains veulent le voir - il y a là ce qui se rejoue , la scène primitive de l'Arrachement - de l'animalité - c'est aussi l'endroit où les Kères et les Erinyes rencontrent l'humain . Francis Wolff défend une esthétique mais il n'évoque jamais ni l'art de la boxe ni celui de la guerre et cela fait défaut à ses démonstrations . L'esthétique de la corrida est espagnol gorgée aux couleurs , au soleil , aux rituels - une esthétique sur-saturée mais qui a le mérite d'être une proposition et d'envisager un retrempage . Au moment où l'universalisme occident nappe il existe dans cette esthétique une nécessaire saillie qui ne vaut pas adhésion .Olé - bonne lecture

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